Car un pays sans passé est un pays sans avenir...

 
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Éloge de la nouvelle chevalerie

Chapitre X - Le Calvaire

 

17. Allons aussi sur le Calvaire où le véritable Élisée, dont ont ri des enfants insensés (2 R II, 17), donna un rire éternel à ceux dont il a dit : " Me voici, moi et les enfants que le Seigneur m’a donnés " (Is VIII, 18). O vertueux enfants, tandis que les premiers ne savaient que bafouer le Prophète, le Psalmiste excite les seconds à chanter les louanges de Dieu en leur disant : " Louez le Seigneur, vous qui êtes ses enfants, louez le nom du Seigneur " (Ps CXII, 1), afin que dans la bouche de ces vertueux enfants se trouve la louange du Très-Haut qu’avaient cessé de faire entendre les odieux enfants dont il se plaint en ces termes : " J’ai nourri des enfants et les ai élevés, et après cela ils m’ont méprisé " (Is I, 2). Notre chauve est monté sur la croix et s’est exposé aux regards du monde pour sauver le monde ; rien ne voilait sa face, rien ne couvrait son front pendant qu’il expiait nos péchés ; il n’a pas plus reculé devant l’ignominie que devant les supplices d’une mort honteuse et terrible, pour nous arracher à des supplices éternels et nous rendre à la gloire. Pourquoi nous en étonner, et pourquoi aurait-il éprouvé de la confusion, puisqu’il n’a pas lavé nos souillures comme l’eau qui les délaye et s’en charge elle-même, mais comme les rayons du soleil qui les dessèchent et demeurent toujours purs ? Car la sagesse de Dieu atteint partout, à cause de sa pureté.
 

 
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