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Histoire de la Rome antique

 

CHAPITRE SEPTIEME : L'Empire romain d'Occident

 

II: Les derniers Empereurs romains (455 à 476)

           

            Suite à la mort de Valentinien III, la dynastie théodosienne prit fin (il avait laissé deux filles, Eudoxie et Galla Placidia la Jeune, mais pas de fils.). L’assassin de l’Empereur, Pétrone Maxime, s’empara alors du pouvoir. Ce dernier fut néanmoins rapidement tué, et une longue querelle de succession s’ouvrit. Cette dernière ne fut jamais réglée, car l’Empire d’Occident chuta avant que l’on puisse trouver une issue au conflit.

 

            1° Pétrone Maxime (mars à juin 455) – Pétrone Maxime ou Maxime II (de son vrai nom Petronius Anicius Maximius.), né en 395, avait été préfet de la ville de Rome, consul, et préfet du prétoire de l’Italie. Epousant la carrière sénatoriale, sa femme fut violée par Valentinien III. Pétrone Maxime décida alors d’assassiner l’Empereur en mars 455, et s’empara du pouvoir.

Pièce de monnaie à l'effigie de Pétrone Maxime.

 

Il épousa en outre Eudoxie, la femme de son rival, et célébra un mariage entre son fils Palladius et la fille aînée de Valentinien III.).

Pétrone Maxime tenta alors de mettre en place un gouvernement sénatorial, s’appuyant sur les tribus germaniques fédérées.

Cependant, non seulement ce dernier n’avait pas les capacités pour jouer ce rôle, mais en plus son épouse Eudoxie appela à l’aide Genséric, le roi des Vandales[1].

Ce dernier débarqua alors en Italie, et mit le siège devant Rome. La ville tomba rapidement, en juin 455, et les Vandales la pillèrent pendant quinze jours (en accord avec le pape Léon I°, les Eglises furent épargnées, et les agressions contre les Romains furent limitées au maximum. De ce fait, les barbares ne commirent pas de grosses dégradations mais s’emparèrent d’un butin très important.). C’est à cette occasion que la Ménora (le chandelier à sept branches des Hébreux, rapporté de Jérusalem suite à la prise de la ville par Titus en août 70[2].) fut dérobé. Nous ne savons pas aujourd’hui ce qu’il advint de ce trésor.

Quant à Pétrone Maxime, qui avait tenté de fuir lors du sac de la ville, il fut lapidé par la foule en colère.

Par la suite, le roi des Vandales épousa Eudoxie, la veuve de l’Empereur, et rentra à Carthage avec elle et ses deux filles (Eudoxie et Galla Placidia la Jeune.). Immensément riche et puissant, Genséric régnait sur toute la moitié ouest de la Méditerranée (outre l’Afrique, il s’était emparé de la Sicile, de la Corse et de la Sardaigne.).

 

            2° Avitus (455 à 456) – Suite à la mort de Pétrone Maxime, ce fut Eparchus Avitus, un aristocrate gaulois, qui fut élu Empereur.

Pièce de monnaie à l'effigie d'Avitus.

Ce dernier, né en 395, avait été précédemment préfet du prétoire des Gaules, et avaient noué de bons contacts avec le royaume des Wisigoths. Nommé magister militum par Pétrone Maxime, Avitus fut alors envoyé à Toulouse en mission diplomatique.

Apprenant la mort de l’Empereur suite au sac de Rome, le roi des Wisigoths Théodoric II (en 453, il s’empara du pouvoir après avoir fait assassiner son frère Thorismond, qui avait participé à la bataille des Champs catalauniques[3].) proposa à Avitus de prendre le pouvoir.

Ce dernier accepta, et se proclama Empereur en juillet 455 à Arles. Par la suite, il conclut un accord avec les Ostrogoths de Pannonie qui s’engagèrent à protéger les frontières de l’Empire. Finalement, l’Empereur d’Orient Marcien le reconnut en janvier 456.

Cependant, Avitus ne fut jamais accepté par les Romains de par son origine, et sa lutte contre les Vandales fut un échec. Lorsque ces derniers entreprirent le blocus de Rome, Avitus, contesté, fut alors renversé par un coup d’Etat fomenté par le général Ricimer et le chef de la garde impériale Majorien (fils d’un Suève romanisé, Ricimer était par sa mère le petit fils du roi wisigoth Wallia ; quant à Majorien, de son vrai nom Flavius Julius Valerius Majorinus, il était né vers 420 au sein d’une famille aristocratique romaine.)

 

L’Empereur décida alors de s’enfuir à Arles, et appela Théodoric II à l’aide. Cependant, ce dernier était en guerre contre les Suèves d’Hispanie, et ne put donc aider Avitus.

Montant une petite armée, il fut défait en octobre 456 à la bataille de Plaisance. Capturé, il fut néanmoins épargné, et reçut l’autorisation de devenir évêque de cette ville.

Cependant, craignant toujours pour sa vie, Avitus décida de s’enfuir en Gaule, mais mourut en cours de route.

 

Ses enfants ne montèrent pas sur le trône, mais furent épargnés par les vainqueurs. Son fils Ecdicius fut fait quelques années plus tard préfet des Gaules, puis d’Italie ; sa fille Papianelle épousa l’écrivain Sidoine Apollinaire

 

            3° Majorien (457 à 461) – Suite à la destitution d’Avitus, en octobre 455, un interrègne de quelques mois eut lieu, car l’Empereur d’Orient Léon I° hésitait sur la marche à suivre (ce dernier voulait réunir les deux Empires.).

Pièce de monnaie à l'effigie de Léon I°, British Museum, Londres.

En février 457, il décida de donner le titre de Patrice à Ricimer, et Majorien reçut la charge de magister militum.

Pièce de monnaie à l'effigie de Majorien

 

C’est alors que l’armée d’Italie proclama Majorien Empereur, en avril 457.

Cependant, les aristocrates gaulois, les Burgondes et les Wisigoths, anciens alliés d’Avitus, décidèrent de ne pas reconnaître le nouvel Empereur. Majorien envoya alors en Gaule le général Aegidius, le nommant magister militum dans cette province. Assisté par ses mercenaires francs, Aegidius força avec succès les insurgés à reconnaître Majorien comme Empereur.

 

En 458, Majorien s’installa à Arles, laissant l’Italie à Ricimer. Par la suite, il livra une courte guerre contre les Ostrogoths qui se faisaient menaçants, puis prépara en 460 une expédition contre les Vandales d’Afrique. Cependant, Majorien fut sans doute trahi, et Genséric détruisit la flotte rassemblée par l’Empereur.

Majorien, rentrant en Italie, fut en août 461 exécuté par Ricimer.

 

            4° Sévère III (461 à 465) – Suite à la mort de Majorien, Ricimer savait qu’il ne pourrait pas se proclamer Empereur, de par son ascendance barbare. Il plaça donc sur le trône une de ses créatures, Sévère III (de son vrai nom Libius Severus.).

Pièce de monnaie à l'effigie de Sévère III.

L’on ne sait quasiment rien sur ce personnage. Les Romains de Dalmatie, les Gaulois, les Wisigoths, et les Burgondes firent immédiatement sécession ; Aegidius refusa de reconnaître Sévère III et créa une enclave gallo-romaine au nord de la Gaule[4] (les Burgondes s’emparèrent par la suite de Lugdunum, coupant Aegidius du sud de la Gaule.) ; l’Empereur Léon I° se proclama souverain de l’Empire d’Occident. 

Sévère III mourut en août 465. Aucun successeur ne lui fut nommé, et Ricimer s’empara alors du pouvoir en attendant qu’un nouvel Empereur soit désigné.

 

            5° Anthémius (467 à 472) – Ce fut finalement Procopius Anthémius qui fut fait Empereur, en avril 467, après près de deux ans d’interrègne.

Pièce de monnaie à l'effigie d'Anthémius.

Anthémius, né vers 420, était issu d’une famille illustre de Constantinople. Un de ses ancêtres, Procope, cousin de Julien l’Apostat, s’était proclamé Empereur d’Orient en 365[5]. Son père fut général sous Théodose II, et Anthémius avait épousé Aelia Marcia Euphemia, la fille de l’Empereur d’Orient Marcien (ce dernier le nomma Patrice et consul en 455.).

En 466, Anthémius fut fait général par Léon I° (successeur de Marcien.), et partit s’attaquer aux Ostrogoths de Pannonie.

Buste de l'Empereur d'Orient Léon I°.

L’Empereur d’Orient, qui voulait rétablir son autorité sur l’Italie, donna le titre de César à Anthémius. Ce dernier, après avoir reçu l’allégeance des Romains de Dalmatie, marcha alors sur Ravenne.

Arrivant en Italie en avril 467, Anthémius fut proclamé Empereur par ses troupes. Par la suite, il s’allia avec Ricimer, qui contrôlait la région, et lui donna en mariage sa fille Alypia.

 

Par la suite, Anthémius décida de s’attaquer à Euric, le roi des Wisigoths (il avait assassiné son frère Théodoric II pour prendre le pouvoir.), qui avait renié son statut de fédéré.

L’Empereur d’Occident reçut alors le soutien de Riothamus, roi des Bretons[6], lui-même allié au royaume gallo-romain de Syagrius et au roi franc Childéric. Cependant, l’expédition fut un échec, les Wisigoths parvenant à battre Riothamus avant qu’il n’ait pu rejoindre ses alliés. En outre, Euric et ses hommes parvinrent même à s’emparer de cités qui étaient restées romaines jusque là.

Anthémius n’eut pas plus de chances contre Genséric et ses Vandales, qui mirent l’armée impériale en déroute.

 

Ces échecs ne consolidèrent pas la côte de popularité d’Anthémius en Italie. Outre ses heurts avec Ricimer, l’Empereur s’opposa aussi à l’Eglise, favorisant la réémergence du paganisme.

En 471, Anthémius tenta de s’attaquer une nouvelle fois aux Wisigoths, confiant l’armée à son fils Anthemiolus. Ce dernier affronta les troupes d’Euric près d’Arles, et la bataille tourna rapidement à l’avantage des barbares, qui tuèrent Anthemiolus.

 

En 472, Ricimer, qui se trouvait alors à Milan, recruta une petite armée, et marcha sur Rome, où résidait Anthémius. Proclamant Olybrius Empereur, Ricimer parvint à prendre Rome en juillet de la même année.

Anthémius, déguisé en mendiant, tenta alors de prendre la fuite. Cependant, reconnu, il fut capturé et exécuté.

 

            6° Olybrius (juillet à octobre 472) – Olybrius, descendant d’une famille sénatoriale, avait épousé Galla Placidia la Jeune, fille de Valentinien III. Cependant, suite du sac de Rome en 455 par les Vandales du roi Genséric, Olybrius fut emmené comme otage, ainsi que son épouse, sa belle sœur et sa belle mère.

Pièce de monnaie à l'effigie d'Olybrius.

Le couple fut libéré en 462, et décida de s’installer à Constantinople. Suite à la mort de Sévère III, Olybrius faillit prendre le pouvoir en Italie, mais l’Empereur d’Orient Léon I° lui préféra finalement Anthémius.

Voyant la lutte que menait Ricimer menait contre Anthémius, Olybrius décida de débarquer en Italie en avril 472, et fut proclamé Empereur par Ricimer en avril 472.

 

Ricimer décéda peu de temps après, en août 472. Olybrius décida alors de remplacer le Suève par son neveu Gondebaud, prince des Burgondes, qui fut nommé Patrice[7]. De cette manière, l’Empereur pouvait compter sur le soutien de ce peuple.

Cependant, Léon I° refusa de reconnaître Olybrius, qui mourut en octobre 472 de mort naturelle[8].

 

            7° Glycérius (473 à 474) – Suite à la mort d’Olybrius, Gondebaud ne put se proclamer Empereur de par son origine barbare. Ce dernier décida, en mars 473, de proclamer Empereur le dénommé Glycérius (sans doute un des anciens serviteurs de Gondebaud.).

Pièce de monnaie à l'effigie de Glycérius.

Ce souverain ne fut qu’une marionnette entre les mains du prince burgonde. Lorsqu’un petit détachement d’Ostrogoths passa les Alpes, Glycérius, plutôt que de les affronter, décida de les payer pour qu’ils se rendent en Gaule.

L’Empereur d’Orient Zénon, qui refusait de reconnaître Glycérius, nomma Empereur Julius Nepos, qui débarqua en Italie en 474 à la tête d’une petite armée.

Pièce de monnaie à l'effigie de l'Empereur d'Orient Zénon.

Glycérius fut alors déposé, tonsuré, et fait évêque de Salone, en Dalmatie. Il y mourut en 480.

 

            8° Julius Nepos (474 à 475) – Julius Nepos, né vers 430, était gouverneur de Dalmatie (il avait auparavant épousé une nièce de l’Impératrice Aelia Verina, l’épouse de Léon I°.).

Pièce de monnaie à l'effigie de Julius Nepos, British Museum, Londres.

En 474, l’Empereur d’Orient Zénon le nomma César, et lui demanda de se rendre en Italie afin d’y renverser l’Empereur illégitime Glycérius. Se débarrassant rapidement de son rival, Julius Nepos fut alors proclamé Empereur par ses hommes en juin 474.

Cependant, le nouveau souverain ne fut jamais accepté en Occident, de par ses origines grecques

 

Rapidement, Julius Nepos dut lutter contre les Wisigoths du roi Euric. Ce dernier, l’ayant emporté sur les Suèves d’Hispanie, menaçait alors l’Auvergne.

L’Empereur s’appuya alors sur Ecdicius, le fils de l’ancien Empereur Avitus, le nommant magister militum en Gaule.

Cependant, la lutte contre les Wisigoths fut un échec. En 475, Julius Nepos dut leur céder l’Hispanie et l’Auvergne, en échange de la Provence.

L’Empereur ordonna alors à son général Flavius Oreste d’abandonner le combat et de rentrer en Italie. Ce dernier renversa alors Julius Nepos, qui, après avoir vainement appelé Zénon à l’aide, décida de rentrer en Dalmatie (à noter qu’il y conserva son titre d’Empereur, tentant jusqu’à son décès de convaincre Zénon de l’aider.).

Julius Nepos trouva la mort à Salone en mai 480, assassiné par Glycérius.

 

            9° Romulus Augustule (475 à 476) – Flavius Oreste, qui avait été dans sa jeunesse un proche collaborateur d’Attila, proclama Empereur son fils Flavius Romulus Augustus (mieux connu sous le nom de Romulus Augustule[9].), en octobre 475 (ce dernier, né vers 460, était encore trop jeune pour gouverner.).

Pièce de monnaie à l'effigie de Romulus Augustule, British Museum, Londres.

Le nouvel Empereur, qui n’était qu’une marionnette entre les mains de son père, ne fut pas reconnu par Zénon, l’Empereur d’Orient (ce dernier ne pouvait intervenir en Occident car il luttait alors contre les Ostrogoths.).

 

Oreste fut alors rapidement confronté aux Hérules, refusant de leur céder des terres en Italie. Leur chef, Odoacre, envahit alors la plaine du Pô, et captura Oreste à Pavie (ce dernier fut alors exécuté, en août 476.).

Par la suite, les Hérules s’emparèrent de Ravenne, forçant Romulus Augustule à capituler (septembre 476.). Le jeune homme fut exilé en Campanie avec sa famille, où il toucha vraisemblablement une pension jusqu’en 511.

Odoacre envoya alors les insignes impériaux à Zénon, l’Empereur d’Orient, en gage de soumission. Ce dernier les accepta et nomma Odoacre roi d’Italie.

Officiellement, les deux Empires étaient réunifiés ; dans les faits, l’Empire d’Occident n’existait plus.

 

            10° Rome et l’Italie suite à la destitution du dernier Empereur – La chute de Romulus Augustule ne choqua pas les contemporains, car les Italiens avaient déjà l’habitude d’être gouvernés par des officiers d’origine germanique.

 

Odoacre, suite à la mort de Julius Nepos en 480, décida d’envahir la Dalmatie.

Cependant, à partir de 488, il dut affronter le roi des Ostrogoths Théodoric I°, mandaté par Zénon pour chasser les Hérule d’Italie, jugés trop remuants.

Odoacre dut finalement capituler en 493. Au cours d’un banquet, il fut massacré, tout comme sa famille, ses lieutenants, et de nombreux soldats de son armée.

 

Au VI° siècle, l’Empereur d’Orient Justinien parvint à reconquérir l’Italie, tombée aux mains des Ostrogoths. Il fut ainsi le dernier souverain à régner sur l’Orient et sur l’Occident, car ses successeurs abandonnèrent peu à peu ses conquêtes.

 

Par la suite, au VIII° siècle, de nouveaux barbares pénétrèrent en Italie : les Lombards. Ces derniers, prenant Ravenne, tentèrent aussi de s’emparer de Rome. L’Eglise fit alors appel au souverain le plus puissant de l’époque, le roi des Francs Pépin III le Bref.

Ce dernier lutta contre les Lombards avec vaillance, mais ce fut surtout son fils Charlemagne qui mit fin à leur résistance[10].

En l’an 800, ce dernier fut proclamé Empereur des Romains par le pape Léon III. C’est ainsi que ce titre, disparu depuis 476, fut recrée (il subsista jusqu’en 1806.).

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[1] Genséric, en 442, s’était déjà emparé de toute l’Afrique, comme nous l’avons vu en le a), 4°, section I, chapitre septième, histoire de la Rome antique.

[2] A ce sujet, vous pouvez vous référer au c), 1°, section IV, chapitre quatrième, histoire de la Rome antique.

[3] Pour en savoir plus sur la bataille des Champs catalauniques, voir le c), 4°, section I, chapitre septième, histoire de la Rome antique.

[4] A sa mort en 465, Aegidius laissa le commandement de cette enclave gallo-romaine à son fils Syagrius. Ce dernier fut par la suite éliminé par Clovis en 481, comme vous pouvez le voir en section II, chapitre deuxième, les Mérovingiens.

[5] Pour en savoir plus sur l’usurpation de Procope, voire le b), 1°, section III, chapitre sixième, histoire de la Rome antique.

[6] Cependant, l’on ne sait pas aujourd’hui si Riothamus était roi d’Angleterre ou bien de l’actuelle Bretagne (peut être était il souverain de ces deux pays ?). A noter que la vie de ce personnage a peut être inspiré la légende du roi Arthur.

[7] Gondebaud fut, quelques années après, le beau père de Clovis, le roi des Francs (ce dernier s’empara alors de ses Etats.). Pour en savoir plus à ce sujet, voir les sections III et IV, chapitre deuxième, les Mérovingiens.

[8] A noter qu’Olybrius resta dans l’Histoire en donnan son nom au mot Olibrius : ce terme désignant en effet une personne importune, se faisant remarquer par sa conduite et ses propos bizarres.

[9] Augustule (Augustulus en latin.) signifie ‘petit Auguste’.

[10] Pour en savoir plus sur Pépin III et Charlemagne, ainsi que sur leur politique en Italie, voir le chapitre premier et deuxième, les Carolingiens.

 
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