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Mythologie
 
 

 

 

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L'Empire byzantin

 

CHAPITRE TROISIEME : L'Empire byzantin, entre grandeur et décadence

 

IV : Basile II le Bulgaroctone, un second Justinien (976 à 1025)

           

            1° Affrontements sous la régence (976 à 989) – A la mort de Jean I°, en janvier 976, Basile II et son frère Constantin VIII furent placés sous la régence du chambellan Basile.

 

Alors que Basile exerçait la régence, il décida de démettre Bardas Sklérios de ses fonctions de chef des armées d’Orient. Ce dernier décida de se révolter, et se proclama Empereur.

Soutenu par les populations d’Asie mineure et par les musulmans (ces derniers espéraient ainsi pouvoir profiter de cette querelle intestine.), il parvint à progresser jusqu’à Constantinople sans trop de difficultés.

Basile, après avoir en vain envoyé plusieurs généraux contre son ennemi, fut alors obligé de rappeler Bardas Phocas de son exil dans l’île de Chios, et l’envoya combattre Bardas Sklérios. En 979, les deux opposants se livrèrent bataille à Amorium, et Bardas Phocas fut vainqueur.

Bardas Sklérios décida alors de se réfugier chez les musulmans.

 

Au fil des années, Basile II (qui était né en 958.) s’intéressa de plus en plus aux affaires de l’Etat, ce qui ne fut pas du goût de Basile. Ce dernier décida alors de s’allier avec Bardas Phocas, mais Basile II coupa court à toute tentative d’insurrection en enfermant le régent dans un monastère (987.).

Cependant, alors que Basile II tentait de se débarrasser de l’encombrant Bardas Phocas, ce dernier décida de s’allier avec Bardas Sklérios (qui revenait des terres sous domination musulmane à la tête d’une petite armée.).

Cependant, les deux Bardas se brouillèrent rapidement, et Phocas enferma Sklérios dans un château.

Basile II, quant à lui, savait parfaitement que son armée était bien moins importante que celle de Bardas Phocas, qui avait sous ses ordres la totalité des troupes des thèmes d’Asie mineure.

L’Empereur dut alors faire appel au grand prince Vladimir I° de Kiev (qui était un des fils de Sviatoslav I°.). Basile II donna la main de sa sœur Anne au souverain rus, qui, en échange, s’engagea à fournir 6 000 guerriers varègues aux Byzantins et à se convertir au christianisme.

En 989, Bardas Phocas livra alors bataille près d’Abydos, et fut tué lors du combat.

Par la suite, ce fut au tour de Bardas Sklérios de se soumettre (ce dernier, après s’être échappé de la prison où l’avait enfermé Bardas Phocas, avait commencé à reformer une petite armée.). Après avoir fait la paix avec Basile II, il se retira dans ses terres et y mourut (991.).

 

Suite à ces affrontements, Basile II créa la garde varègue (appelée aussi garde varangienne.). Maniant la longue hache, ces soldats restèrent toujours fidèles à l’Empire byzantin.

Représentation de la garde varangienne, enluminure issue des chroniques de Jean Skylitzes.

 

A noter qu’au cours de son règne, Basile II ne fut officiellement que co Empereur, accompagné par son frère Constantin VIII. Cependant, ce dernier ne s’intéressa pas à la vie politique et laissa les rênes du pouvoir à son aîné.

Pièce de monnaie aux effigies de Basile II (à gauche.) et de Constantin VIII (à droite.).

 

2° Basile II et la religion – Le fait le plus marquant du règne de Basile II, d’un point de vue religieux, reste la conversion des Rus de Kiev au christianisme. Comme l’Empereur l’avait promis au grand prince Vladimir I°, il lui donna sa sœur en mariage, et ce dernier accepta alors de se convertir au christianisme.

La conversion du grand prince Vladimir I° au christianisme, enluminure issue des chroniques de Jean Skylitzes.

Cependant, certains Rus refusèrent de se convertir, et Vladimir dut alors recourir à la force.

Cette progression du christianisme en Russie permit ainsi à l’Empire byzantin d’étendre son influence dans cette zone. En outre, si, à l’origine, le sacerdoce était emprunté à Rome et à Constantinople, le rite grec finit par s’imposer.

 

Au cours de son règne, Basile II ne fut pas confronté à des hérésies ou à une querelle contre Rome, mais décida néanmoins d’intervenir dans les affaires religieuses. En effet, l’Empereur s’opposa à plusieurs reprises au synode chargé d’élire le nouveau patriarche de Constantinople. C’est ainsi que furent choisis Nicolas II Chrysobergès, Alexis Stoudite, etc.

 

A noter qu’en 989, à cause d’un important tremblement de terre, quelques tours de défenses et églises s’écroulèrent. La grande coupole de la basilique Sainte Sophie ne résista pas à cette catastrophe, et Basile II dut alors la restaurer.

 

            3° Basile II et Venise – Venise avait été fondée par des habitants d’Aquilée et de Padoue, fuyant devant l’invasion des Huns dans la plaine du Pô[1]. Rome ne pouvant assumer la protection de la cité, ce fut Constantinople qui s’en chargea.

Venise étant vassale de l’Empire byzantin depuis le V° siècle, Basile II décida alors de s’appuyer sur la cité. Afin de motiver les Vénitiens à lutter à ses côtés, l’Empereur accorda des droits commerciaux à la ville, et abaissa les droits de douane pour ses ressortissants.

Venise eut alors la tâche de s’attaquer aux pirates (Bulgares et musulmans principalement.) écumant dans l’Adriatique. L’alliance fonctionnant bien, le doge reçut en 998 l’autorisation de protéger le thème de Dalmatie (l’expédition fut un franc succès.).

Les relations entre les deux partis étaient très bonnes, car, en 1004, les Vénitiens envoyèrent une flotte au secours de Bari, assiégée par les musulmans. Cette initiative fut grandement récompensée par Basile II, qui permit à Venise de prendre l’ascendant sur ses cités rivales.

 

4° Guerres contre les Bulgares (976 à 1018) – Au cours des siècles précédents, les souverains byzantins avaient combattu les Bulgares à de nombreuses reprises.

En 970, vaincus par Jean I° Tzimiskès, le roi des Bulgares Boris II avait été déchu et tué, et leur patriarcat indépendant avait été supprimé[2].

Cependant, Samuel I°, tsar des Bulgares avait su profiter de la guerre civile opposant Basile II aux deux Bardas, et s’était emparés de nombreux territoires en Grèce (976 à 989.).

 

En 989, Basile II étant en paix avec l’Egypte fatimide et les Rus de Kiev, il décida de s’attaquer à Samuel I°.

Pendant plusieurs années, les deux adversaires s’affrontèrent, sans que l’un des deux partis ne puisse prendre l’avantage. Samuel tenta alors de s’emparer de Thessalonique, en vain. Se retirant vers Corinthe, les Bulgares furent alors vaincus par les Byzantins, et se réfugièrent en Thessalie. Basile II, occupé en Orient, ne put exploiter cette victoire, et ordonna alors à ses généraux de dévaster la Bulgarie.

Malgré cette défaite, Samuel partit peu après s’attaquer à la Dioclée (l’actuel Monténégro.).

 

Basile II décida de reprendre l’offensive en 1001. Franchissant le Danube, l’Empereur s’empara d’Edessa et de Vidin, et reconstruisit les places fortes de Thessalie.

Samuel livra alors bataille contre Basile II en 1004, devant Skopje. Les Bulgares furent vaincus, et les Byzantins s’emparèrent de la cité (par la suite, ils récupérèrent aussi Dyrrachium.).

 

En 1005, Basile II était parvenu à s’emparer de la Grèce et de la Thessalie, et avait conclu une alliance militaire avec la Serbie.

Les Byzantins lançant chaque année des raids contre les Bulgares, les possessions de Samuel se réduisirent comme peau de chagrin.

Basile II décida alors de marcher sur le cœur de la Bulgarie, en 1014. Cependant, les vallées que les Byzantins devaient emprunter avaient été considérablement fortifiées par Samuel, désireux de ralentir la progression de ses ennemis. Basile II, se trouvant en juillet dans la passe du Kleidion, dut alors mettre le siège devant ces fortifications.

C’est alors que les généraux de l’Empereur, qui avaient contourné les montagnes, parvinrent à prendre les Bulgares à revers. Apeurés, ces derniers quittèrent leurs tours, et furent alors massacrés par les Byzantins au cours de la bataille du Klédion.

Les Byzantins massacrant les Bulgares, enluminure issue des chroniques de Jean Skylitzes.

Capturant une dizaine de milliers de Bulgares, Basile II ordonna de les diviser en plusieurs groupes de cent : dans chaque groupe, les 99 hommes eurent les yeux crevés, le Bulgare restant n’étant qu’éborgné (afin de raccompagner ses compatriotes en Bulgarie.).

C’est ainsi que Basile II fut doté de son surnom de Bulgaroctone, ce qui signifie ‘tueur de Bulgares’.

Le tsar Samuel, en voyant ses hommes mutilés, en aurait eu une crise cardiaque.

 

A la mort de Samuel, ce fut Gabriel Radomir, son fils, qui s’empara du pouvoir. Basile II continuant ses annexions en Bulgarie, une guerre civile éclata dans le pays : Gabriel Rodomir, fut alors assassiné par son cousin, Ivan Vladislav, qui s’empara du pouvoir. Ce dernier demanda alors de faire la paix avec Basile II, qui refusa.

Par la suite, les Bulgares tentèrent en vain de s’allier aux Petchenègues, puis décidèrent finalement de lancer une attaque contre les troupes byzantines (1017.).

Vaincu, Ivan Vladislav tenta alors de s’emparer de Dyrrachium, mais fut tué lors du siège (1018.).

Basile II soumettant les Bulgares, enluminure issue d'un Psautier du XI° siècle, Bibliothèque Nationale de Venise.

 

Basile II, en 1018, put enfin annexer la Bulgarie. A noter que le pays ne fut pas transformé en thème, mais fut dirigé par un basilikoi (ce dernier étant doté des mêmes pouvoirs que les comtes de Charlemagne[3].). En outre, les coutumes bulgares furent préservées, et l’Eglise bulgare conserva une grande autonomie.

 

5° Guerres contre l’Orient (976 à 999) – Bien que l’effort de guerre fut dirigé contre la Bulgarie, Basile II lutta cependant contre les musulmans à de nombreuses reprises.

Au cours des années précédentes, les souverains byzantins avaient réussi à s’emparer de la Syrie, et avaient étendu leur domination jusqu’à Alep (la cité payait alors un tribut à Constantinople.).

A noter que lors de la guerre civile, Basile II était parvenu à s’assurer de la neutralité des Fatimides d’Egypte.

 

En 992, Al Aziz, le calife fatimide du Caire décida de s’attaquer à Alep, remportant une victoire contre le duc d’Antioche Michel Bourtzès en septembre 994. Les habitants de la cité durent alors faire appel à l’Empereur pour sortir de cette mauvaise passe. Basile II, occupé en 995 en Bulgarie, mena alors une véritable campagne éclair : équipant ses soldats de mules, il traversa l’Asie mineure en deux semaines, et se rendit à Antioche. Les musulmans, effrayés, décidèrent alors de rebrousser chemin et se rendirent à Damas.

 

En 998, Al Hakim, le successeur d’Al Aziz, décida de reprendre l’offensive. En juillet, il attaqua le duc d’Antioche, Damien Dallassenos, qui fut tué au cours de la bataille.

Basile II, quittant la Bulgarie une nouvelle fois, se rendit à Antioche, et s’attaqua ensuite à Césarée et Homs, cités dont il s’empara en octobre.

Echouant devant Tripoli, l’Empereur passa l’hiver à Tarse. Basile II aurait souhaité en découdre avec les musulmans, mais, appelé dans le Caucase, il dut se résoudre à signer une paix de dix ans avec Al Hakim.

 

6° Guerres dans le Caucase (999 à 1023) – Basile II, au cours de son règne, livra plusieurs affrontements dans la région du Caucase. Cependant, même si ces conflits furent d’une ampleur moindre que ceux de Bulgarie, ils permirent cependant de redorer le blason de l’Empire byzantin.

 

a) Basile II et David, roi de Haute Géorgie (999) : en 999, alors qu’il se trouvait à Tarse, Basile II apprit la mort de David, roi de Haute Géorgie. Ce dernier avait soutenu Bardas Phocas lors de la guerre civile, et, suite à la défaite de son allié par Basile II, David avait été contraint de négocier : il eut le droit de conserver son trône, mais après sa mort la Haute Géorgie devait revenir à l’Empire byzantin.

Basile II se rendit alors dans le Caucase, où il fut bien reçu par l’aristocratie géorgienne. Recevant le serment de vassalité de ses vassaux, l’Empereur annexa la Haute Géorgie et rentra à Constantinople.

 

b) Guerre contre Giorgi, roi des Abasges (1018 à 1022) : en 1018, Giorgi, roi des Abasges, s’empara des terres que son père Bagrat avait cédé à l’Empire byzantin. Basile II, qui venait de mettre fin à la guerre contre la Bulgarie, décida alors d’intervenir.

En 1021, l’Empereur se rendit dans le sud du Caucase, et affronta l’armée de Giorgi. Ce dernier, vaincu, décida alors de reculer.

Hivernant à Trébizonde, Basile II reçut la soumission de nombreux souverains de la région, apeurés par les constantes agressions menées par les Turcs seldjoukides.

Finalement, Giorgi fit lui aussi sa soumission en 1022, cédant les territoires contestés à Basile II.

 

c) La révolte de Nicéphore Xiphias (1022 à 1023) : à peine la paix était elle conclue avec Giorgi que Basile II apprit l’insurrection de Nicéphore Xiphias (qui, après avoir participé à la guerre contre les Bulgares, avait été fait stratège d’Anatolikon.) et de Nicéphore Phocas, fils de Bardas Phocas. Cette révolte était orchestrée par Giorgi, qui décida alors de reprendre les armes contre l’Empereur.

Cependant, l’insurrection fut vite réprimée : les troupes de Giorgi furent écrasées, en septembre 1022, et le roi des Abasges dut alors faire la paix. Nicéphore Phocas fut assassiné, et Nicéphore Xiphias, seul devant les armées impériales, décida de se rendre. Il fut par la suite exilé dans une île de Propontide (l’actuelle mer de Marmara.).

 

            7° Guerres en Italie (981 à 1025) – Le troisième théâtre d’opérations fut l’Italie. En effet, les possessions byzantines dans cette région, vestiges des conquêtes de Justinien, étaient constamment mises à mal.

 

a) Les incursions d’Othon II en Apulie (981 à 1002) : Othon II, l’Empereur germanique, bien qu’étant mariée à Théophano, une princesse byzantine (elle était la nièce de Jean I° Tzimiskès.), décida néanmoins de continuer la politique de son père, s’attaquant aux possessions byzantines en Italie du sud.

Othon II parvint, au cours de l’été 981, à s’emparer de nombreuses cités appartenant aux Byzantins. Cependant, arrivant en Calabre, il fut confronté aux musulmans de Sicile (certaines sources occidentales affirment que les Byzantins auraient fait appel aux musulmans pour contrer la progression d’Othon II.).

En juillet 982, les Germains furent écrasés au cours de la bataille du cap Cotrone. Othon II, quant à lui, parvint à se sauver en plongeant dans la mer, où il fut recueilli par une galère grecque[4].

La mort d’Othon II, en décembre 983, mit un terme à ce projet d’annexion des territoires byzantins d’Italie du sud.

Le catépanat d'Italie en 1025.

 

b) Les possessions byzantines en Italie : Suite à la mort d’Othon II, les Germains ne représentèrent plus une menace.

Cependant, les Byzantins ne disposaient pas de troupes importantes en Italie, et il était de ce fait très compliqué de se défendre efficacement contre les musulmans venus de Sicile.

Les musulmans s'emparant d'une cité byzantine, enluminure issue des chroniques de Jean Skylitzes.

En 1010, Basile II eut en outre à mettre fin à une insurrection lombarde à Bari (la révolte fut rapidement matée.).

 

Quelques années après, les Lombards décidèrent alors de faire appel aux Normands, qui avaient déferlé sur l’Europe au cours des siècles précédents.  

Ensemble, ils parvinrent à vaincre Léon Tornikios, le catépan d’Italie (1017.). Le catépanat d’Italie, dont la capitale était Bari, était une province de l’Empire byzantin. Englobant toute la moitié sud de l’Italie, la frontière correspondait approximativement à une ligne allant de Monte Gargano jusqu’au Golfe de Salerne (à noter que Naples et Amalfi, bien que se trouvant au nord de cette ligne, avaient fait soumission à Byzance.).

Basile II décida alors de nommer un nouveau catépan, Basile Boiannès. Ce dernier parvint alors à écraser les troupes lombardes et normandes, en novembre 1018. Par la suite, ce dernier érigea la cité de Troia, afin de protéger le massif du Gargano.

 

Les opérations militaires en Italie étant un franc succès, Basile II décida alors de s’attaquer à la Sicile, qui était alors sous domination musulmane (à de nombreuses reprises, différents Empereur byzantins avaient tenté en vain de s’en emparer.).

Basile Boiannès débarqua en Sicile en avril 1025, et parvint alors à s’emparer de Messine. Cependant, alors qu’il se préparait à se rendre dans l’île, en décembre 1025, Basile II mourut.

L'Empire byzantin à la mort de Basile II, en 1025 (vous pouvez faire un "clic droit" sur la carte afin de faire un zoom).

 

            8° Bilan du règne de Basile II – Basile II, excellent gestionnaire, laissa derrière lui un trésor immense, bien qu’ayant passé le plus clair de son temps à guerroyer. Sa politique d’aide aux couches les plus défavorisées de la population (comme l’avait fait avant lui son grand père Constantin VII.) y est sans doute pour beaucoup.

D’un point de vue militaire, la réussite de Basile II fut éclatante. Il parvint à rétablir l’autorité impériale en Italie méridionale, dans les Balkans, en Syrie, ce qui n’avait pas été fait depuis des siècles.

La réussite militaire de Basile II est due à plusieurs facteurs : d’une part, la rapidité d’exécution, qui permirent aux Byzantins de surprendre l’ennemi à plusieurs reprises ; de l’autre, la mise en place d’une stratégie que les souverains de l’Empire romain auraient sans doute du appliquer en leur temps : le harcèlement. En effet, les Bulgares et autres peuples ennemis de l’Empire byzantin, acculés, furent vaincus après une longue guerre d’usure.

 

A sa mort, Basile II n’ayant pas d’enfants (il ne s’était pas marié.), le trône échut donc à son frère Constantin VIII.

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[1] Pour en savoir plus sur l’attaque d’Attila contre l’Italie du nord en 452, voir le c), 4, section I, chapitre septième, histoire de la Rome antique.

[2] Pour en savoir plus sur l’expédition de Jean I° Tzimiskès en Bulgarie, voir le b), 7, section III, chapitre troisième, histoire de l’Empire byzantin.

[3] Pour en savoir plus sur le système des comtes, mis en place par Charlemagne au IX° siècle, voir la section I, chapitre deuxième, les Carolingiens.

[4] Pour plus de renseignements sur le règne d’Othon II, référez vous au 3, II, chapitre premier, l'Empire germanique et l'Église.

 
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